La « poche financière » regroupe plusieurs classes d’actifs ayant chacune leurs spécificités propres, notamment :
- les produits d’épargne réglementée désignent généralement des placements réputés sans risque. Ce sont, par exemple, les livrets bancaires (livret A, LDD, CEL, compte à terme, etc.), la contrepartie étant des taux de rentabilité relativement bas.
- les obligations, ensuite, ces titres de créances négociables sont émis par les entreprises ou les états afin de se financer sur les marchés. Au-delà du risque principal de défaut (de remboursement) de l’émetteur de la dette, c’est l’évolution des taux qui impactera à la hausse ou à la baisse la valeur de l’obligation.
- Dernière classe d’actifs : les actions. En acquérant des actions, l’investisseur achète une fraction du capital d’une société, ce qui lui confère à la fois un droit aux dividendes et un droit de vote en assemblée générale. Ce type de placement est réputé plus risqué car il dépend de façon directe et fluctuante de facteurs tels que l’état de santé de l’entreprise, de ses perspectives de croissance et de la conjoncture économique. Les actions peuvent être acquises sous forme de titres en direct ou d’Organisme de Placement Collectif (OPC).