Premier niveau d’intervention du Transaction Banking : la tenue de comptes, à laquelle s’ajoute logiquement la gestion des flux à l’encaissement et au paiement. Bien connue, cette dimension d’accompagnement du Transaction Banking constitue une véritable valeur ajoutée pour les entreprises qui cherchent à optimiser leurs processus et leur trésorerie. C’est aussi un vrai plus pour se protéger des risques de fraude et de cybercriminalité qui ne cessent de croître. Si certains outils peuvent être adoptés afin de faciliter la gestion et le suivi des flux et des soldes des comptes, d’autres modules plus élaborés améliorent la prévision et la centralisation de la trésorerie. Avec à la clé, une aide à la décision en termes de placements d’excédents, une dimension très intéressante à l’heure où la hausse de taux leur redonne un fort intérêt !
Voici deux exemples de solutions pertinentes : la plateforme d’échanges multi-bancaires ou la télétransmission Swiftnet.
Côté sécurisation et optimisation de processus, des solutions permettent de vérifier, en préalable aux opérations de virements ou de prélèvements, l’authenticité des coordonnées bancaires des clients ou fournisseurs. Cela se fait en interrogeant directement la source la plus fiable disponible, à savoir les référentiels des banques adhérentes. Autre outil : les IBAN virtuels, un mécanisme qui évite d’exposer les coordonnées bancaires de l’entreprise tout en simplifiant les opérations de rapprochement. À cette solution peut s’ajouter un portail web dédié qui permet d’avoir une vision globale ou fine (par client, période…) des opérations.
Voici deux exemples de solutions à étudier : verifIBAN® et eZyban.