Conséquence de la crise sanitaire, certaines entreprises fortement impactées peuvent être contraintes de se céder ou être désireuses d’être rachetées. Avec une épée de Damoclès : une valeur de rachat dérisoire. « Le bilan 2020 des entreprises n’est pas parlant. Pour beaucoup d’entre elles, 2020 est une année blanche. Pour bien négocier, la société cible doit être en mesure de présenter une rentabilité normative retraitée de l’impact de la crise sanitaire et de prouver sa résilience de la structure ». Pour cela il convient de remonter sur au moins 5 ans d’activité et d’englober l’ensemble des actifs matériels et immatériels dans l’appréciation de la valeur de l’entreprise : les outils de production, les savoir-faire, les brevets marques et les personnes clés...