Que l’on parle des secteurs fermés sans discontinuer depuis le premier confinement, tels que le patrimoine, les musées, les pratiques en amateur ou des secteurs qui ont eu à gérer une activité restreinte ou différente, cette année écoulée a été forcément difficile. « En tant que secteur non lucratif, recouvrant une grande diversité d’activités culturelles, artistiques, pédagogiques, réparti sur tout le territoire, nous avons pu mesurer l’importance d’une structuration du réseau, qui permet de faciliter la remontée et surtout la descente d’informations » souligne Marie-Claire Martel, dont la structure qui regroupe plusieurs dizaines de milliers d’associations, peut se targuer d’une vraie connaissance du secteur, notamment sur des activités très pointues.