Depuis la mi-mars, bien des entreprises se retrouvent avec un chiffre d’affaires réduit à la portion congrue, voire inexistant, mais le besoin en fonds de roulement lui ne s’est pas réduit dans les mêmes proportions puisque demeure la nécessité de régler les fournisseurs, d’entretenir les locaux et ce qu’ils contiennent le cas échéant (machines, stocks…), de payer les factures des opérateurs télécoms et des assurances ou bien encore la TVA.
Pour ce faire, la plupart des entreprises sont éligibles au prêt garanti par l’État et octroyé par les banques. Ce prêt de trésorerie d'un an, peut couvrir jusqu'à trois mois de chiffre d'affaires, soit un quart du chiffre d'affaires annuel, à un taux d'intérêt bas. En dehors de cette piste, quelles autres solutions s’ouvrent aux entreprises ?