Avec eux, la Métropole Aix-Marseille
investit dans l'avenir

Didier Khelfa, n'est pas seulement vice-président de la Métropole Aix-Marseille. C'est avant tout un enfant du coin, de Saint-Chamas précisément, et maire de la petite commune en banlieue de Marseille. Sa région il ne l'a jamais quittée et il met tout en oeuvre aujourd'hui pour la rendre encore plus belle et dynamique.

Lecture 2 min
Didier Khelfa, maire de Saint-Chamas, vice-président de la Métropole Aix-Marseille-Provence, délégué au Budget et aux Finances.

« On a le soleil, la mer, la douceur de vivre... Ça fait carte postale, mais c'est ce que nous vivons ici au quotidien ! » Né à Salon-de-Provence, maire depuis 2014 de Saint-Chamas, au bord de l'étang de Berre, Didier Khelfa est viscéralement attaché à sa terre provençale. Pour la rendre encore plus attractive et œuvrer à son avenir, il s'est engagé au sein de la Métropole Aix-Marseille-Provence, qui regroupe depuis 2016 plus de 90 communes des Alpilles aux Calanques. L'élu est notamment en charge de ses finances. « Avec la Métropole, nous avons la capacité à mettre en œuvre des projets que les communes ne pourraient pas mener seules, et qui sont structurants pour le territoire », explique-t-il, en prenant l’exemple des transports : « En début de mandat, nous avons voté un agenda mobilité doté de 3,5 milliards d'euros jusqu'en 2025. Il contient des projets comme le changement des rames du métro de Marseille, la création de couloirs de bus sur les autoroutes, la rénovation de certains boulevards, la réfection de la gare Saint-Charles... »

Domnin Rauscher, directeur général des services de la Métropole Aix-Marseille-Provence.

Pour Domnin Rauscher, directeur général des services, une autre compétence clé de l’institution installée dans la nouvelle tour La Marseillaise, au coeur du quartier d’affaires Euroméditerranée, est le développement économique. « Nous accompagnons les entreprises qui veulent s’implanter ou se relocaliser sur notre territoire, par exemple en aidant les familles à s’installer ou en participant au projet urbain pour permettre la réalisation de bureaux », souligne-t-il. A cela s’ajoutent des pouvoirs en terme de logement, de déchets, d’eau, de lutte contre les incendies, d’aménagement du littoral... « En tout, nous disposons d’un budget de 4 milliards d’euros, pour couvrir à peu près toutes les fonctions du développement urbain de ce territoire », détaille Domnin Rauscher. Pour concrétiser ses plans ambitieux, la Métropole a aussi besoin d’emprunts - et donc de partenaires bancaires de confiance.

La Banque Postale répond systématiquement à nos appels de fonds, et c'est aujourd'hui notre principal prêteur.

« La Banque Postale répond systématiquement à nos appels de fonds, et c'est aujourd’hui notre principal prêteur, avec un encours de dette de 750 millions d'euros sur 1,9 milliard au total », se félicite Didier Khelfa qui insiste aussi sur la qualité du lien qu'il entretient avec son conseiller. « Si j'ai un besoin, je sais qui appeler, il me répond rapidement, on se met autour de la table et on voit ce qu'on peut mettre en place. Le banquier doit être proche de ses clients, tout comme l'élu de ses administrés ! »

 

 

 

À lire également

Découvrez les épisodes de la série documentaire Territoires Eco